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Devenir la personne de nos rêves

Devenir la personne de nos rêves
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15 avril 2016

Gérez votre stress

“L’homme du commun respire par la gorge, le sage respire à partir des talons.” Tchouang Tseu Voici votre petite astuce bien-être du lundi : Comme les moines zen !
Asseyez-vous dos droit, mains sur les cuisses – vous n’avez pas à vous mettre par terre ni en position du lotus; sur une chaise, jambes décroisées, pieds bien à plat sur le sol, c’est très bien.
Respirez profondément en portant toute votre attention sur le trajet de l’air dans votre corps.
Sentez votre ventre qui se gonfle et se dégonfle dans un lent va et vient.
Quand des pensées surgissent, laissez-les simplement passer, comme des nuages dans le ciel, et revenez doucement à votre souffle. Sentez-vous devenir de plus en plus détendu(e) 
Détendez-vous! Le meilleur vient à vous.
Guillaume Dossa
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14 octobre 2015

Une mère rentre dans la chambre de sa fille qu’elle trouve vide. Sur le lit une lettre.

Une mère rentre dans la chambre de sa fille qu’elle trouve vide. Sur le lit une lettre.

Maman chérie,

Je suis désolée de devoir te dire que j’ai quitté la maison pour aller vivre avec mon copain. Il est l’amour de ma vie. Tu devrais le voir, il est tellement mignon avec tous ses tattoos et son piercing et sa super moto. Mais ce n’est pas tout ma petite maman chérie. Je suis enfin enceinte et Abdoul dit que nous aurons une vie superbe dans sa caravane en plein milieu des bois. Il veut beaucoup d’enfants avec moi, c’est mon rêve aussi. Je me suis enfin rendu compte que la marijuana(drogue) est bonne pour la santé et soulage les maux. Nous allons en cultiver et en donner à nos copains lorsqu’ils seront à court d’héroine et de cocaïne pour qu’ils ne souffrent pas. Entre-temps, j’espère que la science trouvera un remède contre le sida pour qu’Abdoul aille mieux. Il le mérite vraiment tu sais.

Ne te fais pas de soucis pour moi maman, j’ai déjà 13 ans, je peux faire attention à moi toute seule et le peu d’expérience qui me manque, Abdoul peut le compenser avec ses 44 ans. J’espère pouvoir te rendre visite très bientôt pour que tu puisses faire la connaissance de tes petits enfants. Mais d’abord je vais avec Abdoul chez ses parents en caravane pour que nous puissions nous marier. Comme ça, ce sera plus facile pour lui pour son permis de séjour.

Ta fille qui t’aime.

"Moi Guillaume, je serai curieux de voir votre réaction à la place de la mère."

<<Au dos de la feuille>>

Je te raconte des idioties maman, je suis chez les voisins ! Je voulais juste te dire qu’il y a des choses bien pires dans la vie que le bulletin scolaire que tu trouveras sur ta table de nuit. Je t’aime.

A vous aussi, votre situation n'est pas la pire de la vie.

Dieu nous garde.

14 octobre 2015

Conversation avec un athé « Histoire d’un coiffeur et de son client »

Conversation avec un athé « Histoire d’un coiffeur et de son client »

Un homme, un jour, se rend chez son coiffeur habituel afin de se rendre un plus présentable et comme à son habitude ce dernier l’entraîne dans des tas de sujets de conversations. De fil en aiguille, ils en arrivent au sujet délicat à savoir si dieu existe ou non ! Les deux hommes affichent un désaccord total, l’un étant croyant et l’autre athéiste…

 

Le coiffeur : « Voyez-vous cher monsieur, je ne pense vraiment pas que Dieu existe, je ne suis donc pas d’accord avec vous »

 

Le client : « Vraiment ? Vous ne croyez vraiment pas que Dieu est l’architecte de ce monde ? J’ai vraiment beaucoup de mal à imaginer votre point de vue, pouvez-vous être plus clair ? »

 

Le coiffeur : « Eh bien, c’est très simple, il suffit simplement d’aller dans la rue pour se rendre compte que Dieu n’existe pas ! Dites-moi, si Dieu existe, pourquoi y’a-t-il tant de gens si tristes ? Pourquoi y’a-t-il tant d’enfants abandonnés ? Pourquoi un milliard de personnes dans la monde meurt de faim ? Pourquoi des millions de civiles sont-elles victimes des guerres ? Et j’en passe !! Si Dieu existait, je ne pense pas qu’il permettrait toutes ses choses ! »

 

Le client s’arrête un moment pour penser… Il ne veut pas évoquer l’argument suffisant étant que tous les maux de cette planète viennent de l’Homme et que le bien, lui, vient de Dieu ! Il ne veut pas non plus évoquer le fait que si Dieu n’intervient pas, c’est tout simplement parce qu’Il a doté l’Homme du libre arbitre et que s’Il intervenait à chaque fois qu’un homme décidait, de lui-même, de faire le mal, cela signifierait que le libre arbitre n’existe pas… Il en a assez d’évoquer ces arguments qui ne font pas réfléchir ! Ou même cet argument expliquant que depuis des décennies, nous demandons à Dieu de nous laisser gérer nos vies seuls, nous lui demandons de sortir de nos écoles, de nos gouvernements… M’enfin…

 

Au moment où le coiffeur eut terminé son travail, un homme avec de longs cheveux mal coiffés, une barbe mal taillée passa devant le salon de coiffure

 

Et le client dit au coiffeur :

 

Le client : « Si vos arguments suffisent à ne pas croire en un Dieu alors ils m’encouragent à penser que les coiffeurs n’existent pas non plus !

 

Le coiffeur : « A la seule différence que moi, je suis devant vous et je viens de vous de couper les cheveux ! N’est ce pas une preuve suffisante que les coiffeurs existent !

 

Le client : « Non ! Car s’ils existaient vraiment, il n’y aurait pas des gens avec de longs cheveux et une barbe aussi affreuse !

 

Le coiffeur : « Ah, les coiffeurs existent bel et bien, ça c’est ce qui arrive au gens qui ne viennent pas me voir »

 

Le client : « Vous venez d’évoquer un point fondamental ! Car voyez-vous, s’il y a autant de souffrance sur cette planète, eh bien, à l’image de cette personne pas présentable du tout, si les gens sont dans la peine c’est qu’ils ne vont pas vers Dieu et qu’ils ne cherchent pas après Lui !

14 octobre 2015

La hutte en feu

La hutte en feu

La hutte en feu

Le seul survivant d’un naufrage a été emporté par les vagues sur une petite île déserte. Tous les jours, il priait pour que quelqu’un vienne le sauver, et tous les jours il scrutait l’horizon pour entrevoir le moindre signe d’aide, mais personne ne venait jamais.

Il a donc décidé de se bâtir une petite hutte avec des arbres morts et des feuilles de palmier afin de se protéger contre les intempéries, les animaux, ainsi que pour mettre à l’abri les quelques possessions qu’il avait sauvées du naufrage.
Après une semaine de travail assidu, sa hutte était complétée finie et il en était très fier. Citadin de nature, notre homme n’était pas habitué de travailler de ses mains.

À la tombée du jour, quelques jours plus tard, alors qu’il revenait de chasser pour se procurer de la nourriture, il a trouvé sa petite hutte en feu. Déjà qu’il se sentait terriblement malchanceux de se retrouver seul, égaré sur une île déserte, encore fallait-il que le pire lui arrive. Il avait tout perdu dans cet incendie. Après le choc initial, le chagrin et bientôt la colère l’ont habité. Il s’est mis à genoux sur la plage et a crié : « Mon Dieu, comment peux-tu me faire ça ? » Complètement découragé et fatigué, il s’est mis à pleurer à chaudes larmes, et il s’est endormi ainsi sur la plage.

Très tôt, le lendemain matin, il a été réveillé par le bruit d’un bateau qui approchait de son île. Il était ainsi sauvé.

Arrivé sur le bateau, il a demandé au capitaine : « Comment saviez-vous que je me trouvais ici ? »
Le capitaine de lui répondre : « Nous avons vu votre signal de fumée. »

14 octobre 2015

Les 4 femmes

Les 4 femmes

 

Il était une fois un riche commerçant qui avait 4 femmes.

La 4ème femme, C’est celle qu’il aimait le plus. Il l’ornait avec de luxueuses robes et la traitait avec délicatesse. Il prenait grand soin d’elle et ne lui offrait que le meilleur.

La 3ème femme, elle aussi il l’aimait beaucoup Il était très fier d’elle et voulait toujours la mettre en valeur auprès de ses amis. Cependant, le commerçant craignait toujours le fait qu’elle puisse partir avec un autre homme.

Il aimait aussi sa 2ème femme. C’était une personne très prévenante, toujours patiente et elle était la confidente du commerçant. Chaque fois qu’il rencontrait des problèmes, il se tournait vers elle et elle l’aidait toujours à s’en sortir.

La 1ère femme était une partenaire très loyale, elle avait aussi bien contribuée à maintenir ses richesses qu’à prendre grand soin de sa maison. Pourtant, le commerçant ne l’aimait pas beaucoup alors qu’elle, l’aimait profondément. Il lui prêtait à peine attention.

 

Un jour, le commerçant tomba malade. Il avait le pressentiment qu’il allait mourir bientôt. Il pensa à sa luxueuse vie et se disait, « maintenant j’ai 4 femmes, mais quand je mourrais, je serai seul, quel solitaire je serai ! »

Il demanda donc à sa 4ème femme : « Je t’aime le plus, je t’ai doté des plus fins habits et pris grand soin de toi. Maintenant que je meurs, voudras-tu me suivre pour me tenir compagnie ? »    –  « Nulle part ! »    Répondit la 4ème femme. Et elle s’en alla sans un autre mot. La réponse coupa le coeur du commerçant comme un couteau tranchant.

Le triste commerçant demanda alors à sa 3ème femme : « Je t’ai beaucoup aimé toute ma vie. Maintenant que je meurs, voudras-tu me suivre et me tenir compagnie? »   –   « Non ! »    Répondit la 3ème femme. « La vie est si belle ici ! Je me remarierais quand tu mourras ! » Le coeur du commerçant se brisa.

Alors il demanda à sa 2ème femme : « Je me suis toujours tourné vers toi et tu m’as toujours aidé. Maintenant j’ai à nouveau besoin de ton aide. Quand je mourrais, est ce que tu me suivras et tu me tiendras compagnie? »  – « Je suis désolée, je ne peux pas t’aider ! » Répondit la 2ème femme. « Dans le meilleur des cas, je ne peux que t’accompagner vers la tombe » La réponse tomba comme du tonnerre et le commerçant fût dévasté.

Alors appela une voix : « J’irai avec toi, je te suivrai là où tu iras ».

Le commerçant leva les yeux, ce fut sa 1ère femme. Elle était si maigre, comme si elle souffrait de malnutrition. Très touché, le commerçant disait : « J’aurais du prendre beaucoup mieux soin de toi pendant que je pouvais! » …

 

Réellement « nous avons tous 4 femmes » dans notre vie !

La 4ème femme, c’est « notre corps », nous nous donnons tant de mal pour prendre soin de lui, il sera detruit quand nous mourrons.

Notre 3ème femme c’est nos biens et nos richesses. Quand nous mourrons, Ils iront à d’autres.

La 2ème femme, c’est notre famille et nos amis. Très proche de nous comme ils l’avaient été durant notre vie, le mieux qu’ils puissent pour nous c’est de nous accompagner à la tombe.

La 1ère femme, quelque chose que nous ne pouvons pas voir, c’est notre âme.

Souvent négligée, oubliée,  dans notre quête de biens matériels et de plaisirs insatiables.

Parfumé, embellis par le bien et les bonnes actions, ou laide et nauséabonde par les péchés et mauvaises actions, c’est la seule qui nous suivra réellement là où nous irons.

C’est peut-être une bonne idée de l’éduquer, la cultiver et la fortifier maintenant, plutôt que d’attendre jusqu’à ce que nous soyons sur notre lit de mort pour le regretter. Non ?

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14 novembre 2014

10 pratiques quotidiennes pour faire de votre vie un chef d'oeuvre

Salut,

Comme vous n'êtes pas apparrus dans ma liste d'amis par hasard, je tenais à vous témoigner ma gratitude en parageant avec vous quelques conseils personnels pour faire de vos journées des merveilles.

Cette simple habitude me rend beaucoup plus productif, beaucoup plus heureux et je voudrais vous la donner.

 

Chaque matin, suivez ce processus :

 1- Etirez-vous bien, c'est essentiel pour le corps

 2- Faites 5 grandes respirations basses et profondes 

(familièrement des respirations avec le ventre même si nous n'avons pas de poumons dans le ventre ;) 

Il se trouve qu'une respiration avec le haut du corps est limitée par le seul fait que nos poumons sont protégés par la cage thoracique, mais qui pour pour mieux nous protéger limite le volume de dilatation de nos poumons.

Or une respiration basse fait fonctionner, les poumons du bas et pousse nos côtes flottantes qui comme leurs noms l'indiquent sont mobiles et permettent donc de prendre davantage d'oxygène.

ASTUCE : Pour vous assurer une bonne respiration basse, voici l'astuce que j'ai copiée d'un chanteur d'Opéra connu.

Levez vous, tenez-vous droit, et levez les bras vers le ciel, mains l'une au-dessus de l'autre et paumes vers le haut puis respirez simplement.

Vous constaterez qu'il vous est impossible de respirer avec le haut et que vous respirerez en bas.

 3- Déterminez les actions essentielles de votre journée (pas plus de 3)

 4- Prenez 3 minutes montre en main, pour vous connecter à vos rêves 

Vous pouvez le faire en lisant vos objectifs ou en regardant votre vision board, ou votre vidéo de rêves. (vous devez les avoir écrits au préalable

 5-Buvez énormément d'eau

Votre urine est un bon indicateur, buvez jusqu'à ce qu'elle soit transparente.

 6- Commencez par accomplir ces 3 actions

 7- Faites quelque chose pour quelqu'un que vous aimez, ou dites-le-lui simplement. 

La première fois que j'ai surpris une très chère bien aimée avec un coup de fil matinal, juste pour lui dire qu'elle reste gravée dans mon coeur, elle n'a jamais cessé de m'apporter de la joie.Ce fut une expérience remarquable.

Par exemple : Vous pouvez surprendre votre femme, votre mari,un ou une amie, votre enfant avec un geste, un mot à laquelle il ne s'y attendait pas.

 8- Le soir, faites le bilan de votre journée et déterminez vos 3 kiffs de la journée  (vos 3 victoires ou moments de bonheur)

Les identifier permet d'aller se coucher avec une autre sensation et de programmer votre esprit à les reproduire

 9- Déterminez la veille pour le lendemain vos actions essentielles

Votre inconscient va travailler pour vous aider à trouver les ressources et vous faciliter la tâche.

 - 10 Endormez vous avec énormément de gratitude, remerciez-vous, remerciez la vie, et si vous croyez en Dieu comme moi, n'oubliee jamais de faire un gros bisou au père célest ( les meilleurs amis échangent de tendre mots avant d'aller au lit non?), faîtes de beaux rêves

 - Pardon,ne me croyez pas, expérimentez simplement

NB: Celui qui croie en Dieu commence toujours  sa journée en commençant par lui dire merci merci merci

 

C'est quand vous commencez déjà? ce soir ou demain matin?

 

Restez béni et que Dieu nous garde.

 

Guillaume Dossa

3 novembre 2014

La pire des choses ? Peut-être bien que non!

La pire des choses ? Peut-être bien que non !

Il était une fois un village qui avait parmi ses habitants un vieil homme très sage. Les villageois avaient confiance en cet homme pour leur fournir les réponses à leurs questions et soucis.

Un jour, un fermier vint trouver le sage et dit d’un ton alarmé :

« Vieil homme, aide-moi. Une chose horrible vient d’arriver. Mon bœuf est mort et je n’ai plus d’animal pour m’aider à labourer mon champ ! N’est-ce pas la pire chose qui puisse arriver ? »

Le vieil homme sage répondit « Peut-être bien que oui, peut-être bien que non ».

L’homme furieux retourna au village et rapporta à ses voisins que le sage était devenu fou. Bien sûr que c’était la pire chose qui puisse arriver ! Ne pouvait-il comprendre ça !

Le lendemain, cependant un cheval jeune et vigoureux fut aperçu près de la ferme de l’homme. Parce qu’il n’avait plus de bœuf sur lequel compter, il eut l’idée d’attraper le cheval pour remplacer son bœuf et c’est ce qu’il fit. Comme le fermier était heureux ! Labourer le champ n’avait jamais été aussi facile. Il retourna voir le sage pour s’excuser. « Vous aviez raison vieux sage. Perdre mon bœuf n’était pas la pire des choses qui pouvait arriver. C’était une bénédiction cachée ! Je n’aurai jamais capturé mon nouveau cheval si cela ne s’était pas produit. Vous devez admettre cette fois que c’est la meilleure chose qui puisse survenir ».

Le sage répondit une fois encore « Peut-être bien que oui, peut-être bien que non ». Ah, non ! Pas encore se dit le fermier. C’est sûr, le vieux sage était à présent devenu complètement fou.

Mais, de nouveau, l’homme ne savait pas ce qui allait arriver. Quelques jours plus tard, le fis du fermier montait le cheval et fit une chute. Il se cassa la jambe et fut dans l’incapacité de faire la récolte. « Oh, non ! » pensa le fermier, « Maintenant nous allons mourir de faim ». Et de nouveau, le fermier se rendit chez le sage. Cette fois il lui dit « Comment saviez-vous que capturer mon cheval n’était pas la pire des choses qui puisse m’arriver ? Vous aviez encore raison. Mon fils est blessé et se trouve dans l’incapacité de m’aider pour la récolte. Cette fois je suis sûr que c’est la pire des choses qui puisse m’arriver. Et vous devez en convenir cette fois. » Mais tout comme il l’avait fait auparavant, le sage regarda le fermier et, avec compassion, lui répondit : « Peut-être bien que oui, peut-être bien que non ». Enragé que le vieil homme soit si ignorant, le fermier hors de lui retourna au village.

Le jour suivant, des soldats arrivèrent pour enrôler tous les hommes valides pour la guerre qui venait juste d’éclater. Le fils du fermier fut le seul jeune homme dans le village à ne pas partir. Il vivrait alors que les autres mourraient sûrement.

La morale de cette histoire nous fournit une leçon puissante. La vérité est que nous ne savons jamais ce qui va se passer – nous pensons seulement le savoir, nous portons des jugements, nous pensons analyser et nous comparons avec d’autres situations passées qui ne sont probablement pas le reflet du futur. Nous créons nous-mêmes des scénarios dans notre imagination sur les choses terribles qui pourraient arriver et ceux-ci nous mettent dans un état interne qui correspond à ces scénarios. S’ils sont négatifs, nous le deviendrons, s’ils sont positifs et optimistes, nous le serons aussi. La plupart du temps, après coup, nous nous rendons comptes que nous nous sommes fait du souci pour rien et que nous avions tort. Si nous restons calmes, sereins et ouverts à toutes les possibilités, nous pourrons raisonnablement être certains que, éventuellement, tout ira bien. Ne vous créez pas de soucis qui n’existent pas : ils n’existent pas puisque c’est dans l’avenir.

Souvenez-vous : « Peut-être bien que oui, peut-être bien que non ».

Un optimiste voit des opportunités dans les difficultés.

Mais surtout vivez au présent et ne vous souciez pas du lendemain, car le lendemain aura soin de lui-même.

Votre serviteur dans l'optimisme

Guillaume Dossa

24 octobre 2014

La chose que le bambou chinois peut vous enseigner

Il existe en Chine une variété de bambou 
tout à fait particulière.
 
Un bambou qui réclame de la patience.
 
En effet, lorsqu'on le plante, pendant 5 ans 
il ne se passe rien, pas une pousse ne sort du sol, 
rien.
 
Ce n'est qu'après 5 ans d'attente que la première 
pousse montre le bout de son nez et sort de terre.
Il lui en a fallu du temps ! 
 
Par contre une fois que la tige est sortie de terre, 
le bambou va en moyenne prendre 12 mètres (!) 
en 1 an.
 
Oui le bambou chinois ne fait pas les choses à moitié.
Il prend son temps mais quand il a décidé de grandir, 
il le fait pour une bonne fois.
Mais comment cela se fait-il ? 
 
Qu'est-ce qui fait que pendant 5 ans, il ne se passe 
rien ? Le bambou dort-il ? Est-il capricieux ?
 
En fait pas du tout. Le bambou chinois est très malin.
 
Pendant les 5 premières années, quand on a l'impression 
que rien ne se passe, la graine se développe sous terre 
et construit un immense réseau de racines.
 
Il ne se passe rien au dessus de la terre, mais le bambou 
ne chôme pas sous terre.
 
Il construit une base robuste, des fondements solides. 
 
Le plus étonnant dans ce fonctionnement est que cette 
particularité est également un avantage.
 
En effet, alors que les végétaux qui grandissent de façon 
régulière, peuvent, au cour de leur croissance être mangés 
par des animaux ou des insectes, le bambou en grandissant 
d'un coup limite ce risque.
 
Ce bambou nous enseigne qu'il faut être patient et que 
ce n'est pas parce que nous ne voyons rien se produire, 
qu'il ne se passe rien.
 
Par exemple, il arrive parfois, lorsque nous apprenons 
quelque chose, que nous ayons l'impression que l'on y 
arrivera jamais, que l'on ne progresse pas.
 
Parfois les progrès sont comme le bambou chinois, 
ils arrivent d'un seul coup ! 
 
Alors c'est vrai qu'avec la société actuelle et le culte du 
"tout, tout de suite", il est difficile d'accepter de prendre 
le temps.
 
Mais, soyez-en sûr, si vous persévérez et que 
vous êtes patient vous avancerez vers les  
objectifs que vous vous êtes fixés. 
Encore une fois, soiyez patient. 
Quand bien même la promesse tarde,elle s'accomplira(Saintes écritures)
Bien à vous!
Guillaume Dossa
22 octobre 2014

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« Avec des si… »

Parce que le respect ou non de nos valeurs n’engage pas que nous mais aussi tous ceux qui nous sont proches, voici un magnifique poème que je dédie à tous les enfants du monde, et à leurs parents…

Avec des si …

Si un enfant vit dans la critique
Il apprend à condamner.
Si un enfant vit dans l’hostilité
Il apprend à se battre.
Si un enfant vit dans le ridicule
Il apprend à être gêné.
Si un enfant vit dans le soupçon
Il apprend à se sentir coupable.
Si un enfant vit dans la tolérance
Il apprend à être patient.
Si un enfant vit dans l’encouragement
Il apprend à être confiant.
Si un enfant vit dans la reconnaissance
Il apprend à estimer.
Si un enfant vit dans la loyauté
Il apprend la justice.
Si un enfant vit dans l’approbation
Il apprend à s’aimer lui-même.
Si un enfant vit dans l’amitié
Il apprend à trouver l’amour dans le monde.

Dorothy Law Nolte

21 octobre 2014

Le puits, le fermier et l'âne

Le puits, le fermier et l’âne

Un jour, l’âne d’un fermier tomba dans un puits.

L’animal gémît pitoyablement pendant des heures… et le fermier se demandait que faire.

Finalement, il décida que l’animal était vieux, que le puits devait disparaître de toute façon et que ce n’était pas rentable pour lui de récupérer l’âne.

Il a invité tous ses voisins à venir l’aider. Ils ont tous saisi une pelle… et ont commencé a enterrer le puits.

Au début, l’âne réalisant ce qui se produisait se mit a crier terriblement. Puis, à la stupéfaction de tous, il se tut…

Quelques pelletées plus tard, le fermier regardant finalement au fond du puits fût étonné de ce qu’il vît.

Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui, l’âne faisait quelque chose de stupéfiant. Il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus. Pendant que les voisins du fermier continuaient à pelleter de la terre sur l’animal, lui se secouait et montait dessus…

Bientôt, chacun fut stupéfié de voir que l’âne sortit hors du puits et se mit à trotter

Conclusion : La vie va essayer de vous engloutir de toutes sortes de difficultés. Pour s’en sortir il s’agit de se secouer pour avancer. Chacun de nos ennuis est une pierre qui permet de progresser. Nous pouvons sortir des puits les plus profonds en n’arrêtant jamais…
NE JAMAIS ABANDONNER !

Secouez-vous et foncez !
Rappelez-vous les cinq règles simples pour être heureux :

1. Libérez votre cœur de la haine.
2. Libérez votre esprit des inquiétudes.
3. Vivez simplement.
4. Donnez plus.
5. Attendez moins.

À ne pas oublier, surtout dans les moments les plus sombres.

Bon début de semaine et à très vite

Guillaume

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